La journée a débuté par un constat de la situation actuelle, fait par Philippe-Henri Forget, membre du bureau également, prenant ici la casquette d’intervenant, autour de la présence des réseaux sociaux, l’utilisation massive du numérique, la chute de la pratique religieuse. C’était un peu le scénario catastrophe ! Mais cela permet de souligner ce qui peut en émerger. Par exemple se rendre compte que la mondialisation pousse a contrario au retour au local avec de nombreuses initiatives, de nouvelles tendances qui se développent. Et de là affirmer que nous devons nous ancrer là-dedans.
Également constater qu’il y a de belles initiatives qui se sont mise en place pendant le confinement ou le couvre-feu. Ou encore comment se servir des réseaux sociaux, qui ne sont pas uniquement des outils mauvais dont il faut se méfier, pour partager l’Evangile.
Voilà les différentes notions approchées en introduction et sur lesquelles nous avons travaillé ensuite. A chaque fois nous faisons un tour de table et c’est là que les profils des membres du conseil pastoral diocésain entre en jeu. Chacun contribue à la réflexion commune en fonction de la population ou du secteur qu’il représente. Lorsqu’il a été question de la proximité, la diaconie est revenue sur le rôle et la place de la maison Beth’Anaïa par exemple.
Par la suite nous nous retrouvons en petits groupes de travail pour approfondir tel ou tel aspect. Chaque groupe creuse un sujet. Et l’objectif ce n’est pas de faire qu’un simple constat mais d’apporter des idées, des ébauches de solution, partager des bonnes pratiques. Cela peut donner des idées à l’évêque qui peut s’en inspirer.
Il y a enfin un temps de restitution pour mettre en commun, puis un moment d’expression libre qui offre la possibilité de suggérer un thème pour une fois prochaine. Pour Mgr Jacolin en fin de compte c’est une manière de pouvoir prendre le pouls grâce à ce groupe représentatif des différentes strates de la société et des différents profils de fidèles vendéens.
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